L'origine des métiers du fer remonte loin dans l'histoire, et même jusque dans la préhistoire. Entre le XIème et le XVème siècle il était rare que la forge appartiennent au forgeron, elle appartenait au seigneur local, qui en possédait les droits, et en récupérait les bénéfices en y plaçant un forgeron salarié. Même entre 1600 et la révolution certaines forges restente la propriété soit d'un noble soit d'un bourgeois qui en a acheté les droits. Depuis toujours le métier de forgeron exerce un attrait important sur les autres habitants du village. Tous les paysans, mais aussi la plupart des autres métiers ont un besoin indispensable du forgeron pour leurs outils. Même si la plupart d'entre eux essayent d'être autonome, la réparation d'un araire ou d'une roue de charrette nécessite rapidement tout l'appareillage du forgeron. |
La construction
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Le bâtiment attenant à la forge est construit en contre-plaqué avec les encadrements des fenêtres en siporex. |
 L'extérieur est enduit avec de la colle à placoplâtre, la génoise est en bois découpé. |
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Les tuiles en plâtre sont faites une à une et attendent la pose, ainsi que les menuiseries en bois. Le soufflet est déjà en place |
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Voici le détail du mouvement du forgeron vu de l'arrière, bien sur vu de face, tout est caché. |
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Le détail du soufflet avant la mise en place du cuir. Des essais ont été fait avec différents moteurs pour prendre celui qui convient le mieux. |
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Le feu de la forge avant la patine sur le siporex. La braise est réalisée avec du verre brisé et une ampoule à l'intérieur. |
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L'ensemble est terminé et rejoindra la crèche pour la première fois à Noël 2009. Les 2 santons sont animés, à voir sur la page des vidéos. |
A santo Catherine, l'òli es à l'oulivò